vendredi 16 décembre 2011

jeudi 15 décembre 2011

Trésors cachés...









Dimanche 11 décembre. La maison dort encore. Dehors, il fait si froid. J'ai deux bonnes heures devant moi. Le moment est venu de découvrir les trésors cachés que Cok'Hillette n'a pas eu le temps de me présenter. Quelques accessoires, quelques objets d'époque. Autant d'histoires à me conter. A appréhender. Dans le silence de la grange qui fait craquer sa charpente aux premiers rayons chauds du soleil. Seul le cri des corbeaux confesse que je suis bien sur terre. 

La dernière fois que j'ai sorti le tiroir-caisse était aussi la première fois. Eric et moi étions deux gamins devant une caisse de jouets. Nous n'avions pas le temps d'en faire l'inventaire et la surprise reste entière. 

Trois casiers de bois s'y superposent avec tout un tas de bricoles susceptibles de dépanner Lucien et Yvonne. Tout est là. Intact. Comme si c'était hier. Comme si nous étions en 1951. A croire que si je sors, je pourrai voir passer sur la route une Traction Avant ou un H flambant neuf...










Le jeu de clés, tantôt estampillées des double chevrons Citroën, des marques Jaeger, Zénith ou Marchal Vaucanson. Et 20 Francs de 1950, en porte-clé. Le tout relié par une cordelette à la clé de fermeture de la porte latérale ; 




Une boîte d'ampoules directement adressée à Monsieur Lucien B. chez Thomson Houston 33 rue de la Roquette à Paris par Monsieur Georges Auclair, chef des achats chez LAMPE NORMA 12 rue Corricelli Paris 17e, Etoile 21-70 ;



et ce porte-ampoule

Je chercherai une prochaine fois si Cok´Hillette est pourvue d´une douille capable de supporter ce porte-ampoule. En priorité à proximité du moteur.

Une pince plate Goulaux et Cie



La boîte d'emballage d'origine du bouchon antivol d'essence 

Et cet étrange appareil de marque Thomson Houston ( hasard ? )











mercredi 7 décembre 2011

mardi 6 décembre 2011

Nationale 7

Une trouvaille d' Eric ; juste pour le plaisir des yeux...




Mon ami Grisby...

Touchez pas au Grisbi est un film de Jacques Becker sorti en 1954 avec Jean Gabin et Lino Ventura. Premier d´une trilogie, les dialogues de Michel Audiard pour "Le cave se rebiffe" et "Les tontond flingueurs" apporteront une profondeur à jamais inscrite dans les annales du cinéma français. "Quand les types de 130 kilos disents certaines choses, le types de 60 kilos les écoutent" Je vous présente Grisby, 1380 kilos... LOL

Alors inutile de vous faire du cinéma ; touchez pas au Grisby ! Point ! Eric a le don d´emprunter une voix de comédien à faire trembler les papiers peints. Quand à sa carrure... Quand i cose, on l´écoute, mon tit père.


Type H de 1956, frais comme un jeune homme, Grisby a quitté ses vertes montagnes pyrénéennes en avril 2011 pour gagner la région parisienne chez un amoureux d´anciennes. Et à qui un amoureux confie-t-il la remise en route d´une pièce d´exception ? A un autre amoureux de la mécanique, passionné de H. A domdom, depuis son Auvergne natale.


Je n´ai pas résisté à vous faire partager cette petite vidéo de Domdom suite à la remise en route de Grisby. Moteur de traction de 1956. Ce n´est pas pour les images. C´est pour le son ! Appréciez plutôt...



lundi 5 décembre 2011

Une plaque bleue ???













Hier soir, j'ai recadré une photo des années 50 de Cok'Hillette. Quand elle m'est apparue à l'écran, j'ai remarqué un détail que je n'avais jamais vu. J'avoue que je ne m'y attendais absolument pas, sûr qu'elle n'en avait jamais eu...
A droite de la "plaque de police", vous ne remarquez pas un encadré avec trois lignes de caractères ?




Cok'Hillette aurait été équipée des fameuses plaques destinées aux utilitaires de l'époque. Achetée neuve, elle a toujours été un camping-car appartenant à des particuliers et il me semblait logique qu'elle en soit dispensées. Si vous avez une explication plausible, n'hésitez pas à m'en faire part !



Petite pédagogie sur ces plaques... 


Voyez sur ce superbe H de 1951 ayant appartenu à Jean-Luc Gaillard la présence à l'avant du véhicule près du marche-pied gauche d'un fond bleu où est mentionné en caractères blancs de 8 cm de haut "COTE D'OR"...




... et à l'arrière, ici en bas à droite mais on pouvait aussi le trouver en haut, toujours le fond bleu et des caractères sur trois lignes. Le nom du département à l'avant et à l'arrière, le nom du propriétaire, ses initiales ou le nom de l'entreprise, parfois le métier. Sur la seconde ligne, la ville. Et sur la troisième, le département. 



Les licences attribuées à l'utilitaire sont renseignées par la couleur du fond ; 
- le bleu pour le transport de marchandise privée
- le jaune pour la livraison dans le département ou département voisin
- le vert pour une zone plus large (qui couvre quelques départements  alentours seulement)
- le rouge pour toute distance
- la location exclusive repérée par le jaune entouré de noir. 

Le nouveau système d'immatriculation mis en place en 1950 fera partiellement double emploi en ce qui concerne le département mais la licence attribuée au véhicule est étroitement liée à la couleur de fond de plaque. Cette pratique perdurera jusqu'à la fin des années 50 et ne sera définitivement plus obligatoire à partir de 1965. 

A votre attention
Si vous détenez des informations, textes ou photos sur le sujet, il serait gentil de me les communiquer afin d’affiner le sujet. Merci d'avance.

Ainsi Cok'Hillette aurait reçu une licence ? Si tel est le cas, il serait intéressant de savoir pourquoi, n'étant pas destinée à un usage professionnel. 

Edité le 09 janvier 2012
J'accueille avec beaucoup de curiosité cette hypothèse lancée par Happy-H :
"Concernant la plaque, vu les délais d'attente en 51 (plusieurs mois voire années), les professionnels devaient sans doute être prioritaires. C'était peut-être une astuce du propriétaire pour attendre moins longtemps."

Il est fort possible qu'une nouvelle peinture du véhicule ait eu finalement raison de la plaque peinte à même la carrosserie. Imaginer qu'elle soit sous une couche plus récente est intrigante. Est-il possible de la faire réapparaître en utilisant des produits adéquats ? Il me tarde de revoir ça... En attendant et d'après la photo, je spécule sur le contenu de la plaque :

.  L B  .
PARIS
SEINE

Je sais où trouver la réponse ;-)

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Edité le  15 décembre 2011

L'oeil nu conjugué à la lumière du jour ; rien à voir. Sauf que dans l’obscurité, avec une lumière rasante, voilà le résultat :


BINGO ! Reste à savoir pourquoi Cok'Hillette en était équipée... Par contre, absolument rien sur la joue avant gauche...



dimanche 4 décembre 2011

Miss France et le H

Miss France a 63 ans*. Le H aussi.
(* d'aprés le présentateur de TF1)



1948

Citroen s´apprête à produire, dans ses usines des quais de Javel à Paris, un utilitaire révolutionnaire qui sera fabriqué à un demi-million d'exemplaires durant 33 ans. Un record de longévité et un succès mondial.


André Citroën (1878-1935)

Les usines Citroën sur les quais de Javel à Paris

Engrenages en V devenant le symbole de la marque
(double chevron)

Prototype H de 1947

Salon de l'Automobile au Grand Palais

1948 voit naître aussi un concours d´élégance au succés jamais démenti ; l´élection de Miss France.
Jacqueline Donny, Miss France 1948

Juste pour le plaisir des yeux, un salon "moderne" de l'époque :






1951

Nicole Drouin, Miss france 1951

Coquillette, HZ 1951


63 ans plus tard, le tendance est plutôt...




Grand spectacle de lumières, plateaux télé et audience maximale pour un show interminable entrecoupé d´annonces publicitaires et d´incitations à des appels surtaxés ; le cocktail gagnant pour élire Miss France depuis les années 2000 est dirigé par les intérêts des actionnaires de la chaîne privée. Même l´icône maternel au célèbre chapeau noir et blanc est mise à l´écart de ses Miss. La simplicité du concours des années 50 est derrière. Loin derrière.

Loin derrière aussi nos bons vieux fourgons qui finiront leur vie dans les orties. Au mieux, il conserveront un rôle loin de ce dont ils ont été conçu ; stabulation de fortune pour traire les vaches loin de la ferme ou évasion pour petits aventuriers. Ces derniers apprendront peut-être là l´art d´aimer ce véhicule pas commun et souvenirs aidant, les conduiront un jour à en posséder un ? Qui n´a pas traîné dans un fourgon type H emprisonné par la végétation envahissante ? A passer les vitesses au bruit mécanique d´une machine qui ne demandait qu´à repartir sur les chemins de la vie ? Aujourd´hui, il est urgent d'agir pour que soient conservé les beaux spécimens tant la destinée fatale qui a été la lisière des bois et les ronces finirait par avoir raison du demi-million d'exemplaires produits. Seule la passion sauvera le type H de l'oubli. Il s'agit quand même d'une part du patrimoine national, non ? Tout comme les Miss, même si les projecteurs focalisent davantage les rondeurs dévoilées par les maillots deux pièces plutôt que la tôle ondulée... L´un n´empêche pas l´autre.

vendredi 2 décembre 2011

A vous de jouer !








Petit jeu ; où cette photo a-t-elle été prise ?

Lors de notre seconde visite, Roland nous a fièrement  montré un cadre pêle-mêle fabriqué maison avec un papier de soie et quelques collants de couleurs. Sous le verre, quatre photographies  sépia des années 50. Un cadre exclusivement réservé à Cok´Hillette. Etrange idée de consacrer un cadre photo à un utilitaire. C´est à ce moment précis que je comprends partager la même passion qu´Yvonne et Lucien pour le type H.
On y voit Cok´Hillette sur une barge, Cok´Hillette à la montagne, Cok´Hillette à la campagne et enfin Cok´Hillette devant une église. Mais au dos des photos, aucune indication. Ni date, ni lieu. La tâche s´annonce ardue.  Pourtant, ces quatre témoins du passé sont l´histoire de notre Cok´Hillette. Des recherches s´imposent.

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Ne cherchez plus ! Brigitte a trouvé ; Les Houches !



et photo récente...


Moins de charme, certes !

A retenir
Nous avons recensé un lieu sur les quatre photographies originales ;Cok'Hillette aux Houches

jeudi 1 décembre 2011

Contrôleur de pression Malivert





Dans sa boîte métallique d'origine offerte par Roland le jour de l'achat, ce contrôleur de pression de marque Malivert était un accessoire qu'utilisait régulièrement Lucien pour vérifier la pression des pneumatiques.

Quelques photos...




mercredi 30 novembre 2011

Pourquoi Cok´Hillette ?

Cok´Hillette est un Citroen Type H.







Le type H est populairement appelé TUB mais c´était en fait son prédécesseur. Inutile de contrarier l´opinion publique ; cette appellation lui va à merveille...

Une pertinente définition du Citroen Type H par Pierre Lachet pour Larousse :

"Né juste après la guerre, le plus légendaire des utilitaires a connu une vie exceptionnellement longue de trente-quatre ans. Pierre Boulanger propose un cahier des charges des plus sommaire, « faire simple et pas cher » pour un poids et un prix minimum. L’étude du projet est confiée à un spécialiste en carrosserie, Pierre Franchiset, il est l’inventeur un système de pliage des tôles pour obtenir les charnières de type Yoder. Ce système économique est utilisé partout sur le fourgon : volets de côtés, volet de roue de secours, trappe de réservoir, capot moteur, portières et sur les 2 cv… Pierre Franchiset ébauche le travail en 1941, lorsque le bureau d’études Citroën est réfugié à Niort et à Ruffec. A la libération, son équipe met un an à finaliser la conception du H, un grand nombre d’éléments sont emprunté aux autres véhicules de la marque : le berceau est copié sur celui de la traction et élargi, le moteur est de la même origine, ainsi que l’essieu jusqu’aux poignées de porte. La 2cv et plus tard la DS sont des sources largement utilisées. Pierre Franchiset propose d’utiliser des tôles nervurées pour habiller le H, cette solution permet d’employer des tôles de très faible épaisseur et les rigidifie, cette technique a été vue un 1919 sur les avions Junker F 13. Deux prototypes suffisent pour convaincre la direction. Le H est le premier utilitaire monocoque et traction avant, cette formule est aujourd’hui incontestée. Cet utilitaire a fait le bonheur des commerçants et artisans, polyvalent, léger, de faible encombrement, robuste, fiable, facile à réparer. Quelquefois rallongées ou rehaussées, les carrossiers tel Bastard, Currus, Heuliez l’ont pris en charge en partant du châssis cabine. On l’a retrouvé en véhicule de commerce ambulant, en camion publicitaire, en car de tourisme ou de police, en véhicule de secours, en ambulance, en bétaillère. Au cours de la production, Citroën le propose avec différentes motorisations essence 9 et 11 cv. et des moteurs diesel Perkins ou Indénor 7 et 9 cv. Il a été appelé à tort TUB, qui est en fait le nom de son prédécesseur et plutôt connu avec le surnom de: « Nez de cochon » du fait de son petit capot placé devant la cabine avancée. C’est un outil formidable, bien pensé, ses facilités de chargement extrêmement favorable lui ont permis de s’imposer sur son marché, doté d’un charme désuet sa longue carrière s’achève en décembre 1981."


Cok´Hillette est un HZ de 1951 pour être précis. Ce HZ a une histoire intimement liée à ses anciens propriétaires, Yvonne et Lucien. 
Nous ne connaissons pas l´origine de son surnom mais initialement, il était orthographié à la française, c´est à dire C-o-q-u-i-l-l-e-t-t-e.  

Un humour potache invite traditionnement les possesseurs de H à mettre un brin de fantaisie au nom donné à leur nouvelle acquisition. Fantaisie axée sur un humour à double sens qui a pour thème des substances illicites.

Par exemple "Le H, c´est stupéfiant!", épithaphe qui arbore l´arrière du HP de Jcf ...



... ou encore "H is good" de notre ami Jean-François dans le Michigan.


La proposition de Marie tombe comme une veste sur mesure ; on retrouve la lettre H en bonne place dans ce mot qui, a priori, n´a qu´en faire. Et la substance peu recommandable en tête. Voici donc Coquillette transformée en Cok´Hillette. La volonté de Roland de ne pas débaptiser le navire, sans vouloir nous l´imposer et le clin d´oeil fait à la communauté de mordus de H qui suit de prés cette nouvelle vie ont été tous deux respectés.

Arrivé depuis peu en Bourgogne pour une seconde vie, Marie et Manu vous propose de suivre l´histoire incroyable de Cok´Hillette qui fait le bonheur des petits comme des grands ! - A bientôt !
 

ITINÉRAIRE D'UN ENFANT GÂTÉ






Je me suis aidé des quelques documents disponibles pour retracer l'itinéraire de Cok'Hillette.
Enquête exclusive...

Exceptionnelle ; cette carte grise !



Le véhicule est initialement immatriculé 1268 AS 75. "AS" ; le nouveau système d'immatriculation est en place depuis un an et perdurera jusqu'en 2010, avant le nouveau Système d'Immatriculation des Véhicules (S.I.V.) qui fera disparaître les fameux numéros de départements.

Nous sommes en 1951 et le département 75 est celui de la Seine qui regroupe Paris et 81 communes limitrophes.



La question est ; Yvonne et Lucien ont-ils habité Paris ou l'une des 81 communes limitrophes ou est-ce l'immatriculation du véhicule neuf ? Si vous connaissez les pratiques de l'époque, n'hésitez pas à laisser un commentaire ;-)

Cette carte grise tient compte du changement de domicile des propriétaires le 24 février 1965. Nouveau numéro d'immatriculation (1485 FY 78) et nouvelle adresse (Saint Leu la Forêt) dans le... 78 !!! Mais vous me direz ; Saint Leu la Forêt n'est pas dans le 78 ?! Et oui. Nous sommes en 1965 et le numéro 78 n'est pas encore attribué aux Yvelines mais au grand département de Seine et Oise.



Reprenons ! LOL

En 1965, Saint Leu le Forêt se situe dans le département de Seine et Oise (78). Les plaques peintes sur la carrosserie sont cette conséquence. Ce n'est qu'en 1968 que le Val d'Oise (95) fut créé. Logiquement mais je ne connais pas les tolérances de l'époque suite à ces changements administratifs (appelés réorganisation administrative de la région parisienne suivant la loi de 1964 applicable en 1968), Cok'Hillette aurait du changer une troisième fois d'immatriculation. Mais pour une raison que j'ignore, elle restera estampillée 78 au lieu de 95 de 1968 à 1974. Ensuite, le véhicule sera immobilisé jusqu'à ce jour de 2011.

On admirera sur la carte grise le timbre fiscal de 1965.

Autre document déjà vu, cette étiquette de service trouvée dans le tiroir-caisse :


Un lieu, une date et un kilométrage. C'est fou la quantité de renseignements sur ce bout de carton....

Les établissements J; TAROT et Cie, concessionnaire exclusif Citroën à VIRY-CHATILLON effectue le service du véhicule 1268 AS 75 le 10 décembre 1960.

Roland me parlera à plusieurs reprises de Juvisy. Il s'agirait de Juvisy-sur-Orge dans l’Essonne. Mais avant 1968, Juvisy est dans la Seine et Oise. Département 78 ! Juvisy se trouve être à proximité immédiate de Viry-Chatillon. Logique.
On peut penser que Cok'Hillette était déjà immatriculée 1485 FY 78 avant le 24 février 1965 et que la carte grise spécifie juste un changement d'adresse (Yvonne et Lucien quittent en 1965 Juvisy pour s'installer dans leur nouvelle maison à St Leu).

Mais quand Cok'Hillette quitte son AS pour son FY ? A creuser...

Dernier élément et pas des moindres ; la carte de garantie du véhicule neuf !! Document inédit, rare et précieux. La véritable carte de garantie de Cok'Hillette ! Manque plus que la facture ! LOL





La révision des 500 km est réalisée à Boulogne (Seine) le 28 janvier 1952. Il y a de fortes chances que l'achat ait eu lieu à ce même endroit. La date de départ de garantie est le 05 octobre 1951. Je n'ai pas résisté à publier un document daté du même jour ; le numéro 320 de Regards - vendu 25 Fr.



Quant au garage d'où est peut-être issue Cok'Hillette, il est une concession exclusive Citroën comme on disait à l'époque. Situé en plein coeur de Boulogne (aujourd'hui Boulogne-Billancourt), il est tenu par la famille Augustin. Malheureusement, il ne subsiste aujourd'hui qu'une concession moderne et aucune archive n'a été conservée depuis le rachat il y a une dizaine d'années à la dynastie Augustin. Pas d'archive. Pas de photo. Pas de facture. Dommage...

Pour nous consoler, une carte postale ancienne de la rue Danjou...



A retenir


- Cok'Hillette a appartenu à un seul propriétaire et fait d'elle, malgré son grand âge, une première main. Un seul propriétaire mais deux immatriculations. 
- Une carte de garantie avec une date de départ de garantie le 05 octobre 1951 et un garage ; GARAGE DANJOU - Etablissement AUGUSTIN à Boulogne (Seine). Malheureusement, il ne reste aucune archive là-bas. 
- Un changement d'adresse en notre possession en février 1965.
- Un doux casse-tête pour les numéros de départements depuis la réorganisation de 1968.